30 mai 2024.
le temps passe en silence
il efface nos rêves juvéniles
et chaque jour qui s’élance
meurt notre mémoire fragile
le temps passe en silence
entends tu toujours ma voix
sur la musique des transes
où tes cauchemars se noient
le temps passe en silence
même si je ne vois personne
ton absence éternelle danse
tout autour de nous en somme
le temps passe en silence
devant mon cœur aveuglé
par ton innocente absence
à la fin de mon rêve dérèglé
Texte et photo Daniel Margreth
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