26 juillet 2024.
Les mots silencieux m’échappent
perdus dans les méandres de mon rêve
qui s’en va dans l’au delà
Je zigzague sur la trace invisible
de mes pensées dispersées
depuis le premier jour
Sans cesser d’espérer malgré tout
que la route soit encore longue
je mets les doigts sur le clavier invisible
d’un temps à venir déjà dépassé
Les yeux bandés les mains usées
devant le dernier souffle des neurones
qui rejoignent peu à peu les étoiles
comment rire dans l’obscurité
Texte et photo Daniel Margreth
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