17 octobre 2024.
écoutes tu le silence feutré
de notre petite musique
au milieu d’un parfum temporel
qui envahit lentement les veines
comme dans l’éternité d’un rêve
entends tu les pensées dispersées
de nos âmes amoureuses
qui pleurent les nuits blanches
dans l’ombre des étoiles noires
comme dans l’éternité d’un rêve
vois tu tous les mots silencieux
de nos regards célestes
qui racontent juste cet instant
des larmes d’étoiles oubliées
comme dans l’éternité d’un rêve
ressens tu les caresses promises
de nos doigts fébriles
qui redessinent sur la peau
le firmament de la nudité
comme dans l’éternité d’un rêve
Texte et photo Daniel Margreth
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