2025.
Le fracas du monde dans le froid des rêves
s’attardait depuis longtemps déjà
dans le silence feutré de ma pensée
Je devenais triste comme un baiser perdu
qui cherche chaque matin un regard
dans le vide infini du temps passé
Quel destin pour un éternel enfant
au milieu de l’après-midi en partance
dans un labyrinthe céleste sans promesse
Il n’y avait que la nuit agitée du cauchemar
des histoires sans fin de tous les autres
qui revenaient toujours en silence
Oh mon Ange chéri je t’attendais
pour guérir de la lassitude du temps
au moment inattendu de tes baisers étoilés
Texte et photo Daniel Margreth
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