2025.
le premier parfum du café des arts
le premier jour des mots libérés par tes yeux
le temps n’efface rien d’autre que les mauvais rêves
le temps ensoleillé ce matin pour écrire
de nouveaux instants célestes
gravés sur les épines du passé
que nos mains encore ensanglantées
ont écarté par la grâce de nos pensées vagabondes
devant le double expresso devenu un rituel journalier
comme l’éternité gourmande de nos âmes
au petit matin d’un autre horizon amoureux
un oasis de sourires d’enfants
au milieu de la furie mortelle des adultes
le premier jour de notre oasis
Texte et photo Daniel Margreth
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