04 avril 2020.
Quand je ferme les yeux
le soleil me réchauffe
et même paupières closes
je vois ton ombre pâle
J’imagine ton corps
mes doigts tentacules
en explorent les reliefs
depuis si longtemps
qu’ils en savent la carte
et tous les délices cachés
Jamais épuisé de plaisir
tu geins doucement
du soleil couchant
jusqu’à la nuit tombée
Tu tires sur nos corps
les draps imaginaires
de notre rêve diurne.
Texte et photo Copyright Daniel Margreth.
Belle et charmante découverte du masculin,
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