16 mars 2024.
dans le vent tranquille
je voyageais dans la ville
qui m’apprenait la balade solitaire
dans les méandres du hasard offert
partout au milieu de mes étoiles rêvées
étincelantes de mille questions dorées
mais tu es là devant mes yeux inutiles
dans ton absence d’innocence fragile
avec ton sourire sans limite connue
qui me traverse l’esprit déjà vaincu
et tu sais bien que mon sourire niais
cache mon sentiment pour parler vrai
alors que mes pensées sont muettes
sur des images froissées de tempêtes
mes yeux rieurs et graves s’amusent
dans l’instant si prévisible des muses
où ta voix scintille
dans le vent tranquille
Texte et photo copyright Daniel Margreth