16 novembre 2024.
comme les étoiles qui brillent
sans se préoccuper des hommes
qui s’agitent sans fin
les mots silencieux
sont devenus des éclats de vie
sur l’espace numérique
né dans les nuages blancs
de mon cerveau
les amants de l’ombre
observent cachés
les lumières agitées de la nuit
les larmes silencieuses
ont transformé la scène en silence
avant l’écriture intime
au creux des pensées du poète
sans se soucier
des amours d’un présent instable
à l’inverse des souvenirs
que faire avec le vent matinal d’automne
qui tourne les pages des saisons passées
que faire d’autre
qu’attendre la fin du film des souvenirs
pour le seul acte possible
né du désir retrouvé
Texte et photo Daniel Margreth
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Très beau
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Merci Gyslaine !
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joli poème !
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Merci Patrick !
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