4 décembre 2024.
Le bonheur infini
qui envahit lentement les mots
malgré le bruit du quotidien
au café de la place des Halles
repose uniquement sur ton visage
encore dans les méandres
de mon rêve réveillé
par les paroles douces
et les larmes joyeuses sur ta joue
Pleure pleure mon amour
le monde peut s’enfuir maintenant
rien ne pourra plus séparer
nos âmes vagabondes
qui volent d’étoiles en étoiles
dans les silences de nos yeux
en larmes évaporées
au détour muet
de notre destinée révélée
L’éternité passagère du temps
dans nos souvenirs et nos rêves
comme l’ombre du jour
qui s’en va à l’ouest
est venue se promener doucement
dans nos yeux fatigués
pour faire briller
d’une étincelle bleue
nos âmes ensoleillées
Texte et photo Daniel Margreth
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Très beau malgré la tristesse qui s’en dégage
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Merci Gyslaine…
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Niort !
Belle journée, Daniel.
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Merci Gilles ! En effet, la photo a été prise dans cette ville où je vis !
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