7 avril 2024.
la pluie désespérée sur les cailloux
suit le fossé déjà bien trop rempli
elle s’égare doucement dans la ville
la nature se fiche de nos contraintes
sur le chemin de la vie pas à pas
la trace d’un voyage solitaire
vagabond dans les méandres des mots
je fuis le récit éphémère du temps
le vent tourne tout autour de la terre
elle suit les règles immuables de l’air
sa colère détruit tout sur son passage
la nature se fiche de nos contraintes
sur le chemin de la vie pas à pas
la trace d’un voyage solitaire
vagabond dans les méandres des mots
je fuis le récit éphémère du temps
le soleil brille au dessus de ma tête
il se lève doucement tous les matins
parfois son intensité brûle la terre
la nature se fiche de nos contraintes
sur le chemin de la vie pas à pas
la trace d’un voyage solitaire
vagabond dans les méandres des mots
je fuis le récit éphémère du temps
les hommes construisent des mégalopoles
ils pensent pouvoir façonner la planète
sa colère incandescente réveille la peur
la nature se fiche de nos contraintes
sur le chemin de la vie pas à pas
la trace d’un voyage solitaire
vagabond dans les méandres des mots
je fuis le récit éphémère du temps
Texte et photo Daniel Margreth
Superbe…
Merci Daniel…
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Très beau
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Merci Gyslaine !
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