16 mai 2024.
dans le grand manteau de nuages
qui protège mes yeux des étoiles
je me promène avec la musique
des histoires solitaires des autres
ici-bas pour toujours orphelin
perdu au creux d’une folie intense
éveillé pour un destin sans âme
je survis pour apercevoir tes yeux
tu es magnifique dans mes pensées
enveloppée dans l’écrin des mots
j’aperçois ton cœur meurtri et solitaire
orphelin de notre souvenir imaginaire
dans le silence assourdissant du temps
notre rencontre d’hier ou de demain
s’évapore lentement comme un rêve
dans le grand manteau de nuages
Texte et photo Daniel Margreth
Encore un très beau poème
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Merci Gyslaine !
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