23 mai 2020.
Les couleurs pleines de finesses
dessinent les verrières colorées
où le fil de ma pensée se tire
à tire d’aile sur la toile blafarde
comme mon cœur sans je t’aime
dans un ciel bleu d’espérance
fuyant les écheveaux infinis
où se perd seule ma conscience
Les dieux se moquent
de ma fugue temporelle
et de mes pas sans trace
je dévale la vie disparue
sur les pavés désaccordés
comme je divague en vain
dans cette cité disparue
tout est fini ainsi soit-il
Très beau texte.
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Merci!
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